Idéal ou impuissance ? Telle est la question ! Pour que l’impossible d’aujourd’hui devienne le possible de demain, donnez-vous les moyens de changer le système financier pour bâtir un avenir meilleur pour tous
Prêts à vous battre pour un idéal commun à mes côtés ? Notre arme ? C’est couper les banques en deux pour nous protéger du tsunami financier qui vient et contre lequel Jacques Cheminade fut le seul à nous alerter ces dernières semaines. Protéger l’épargne populaire et mettre fin au chantage du financier sur le politique, voilà notre porte de sortie.
Idéaliste ? Ne nous enfonçons pas encore une fois dans l’impuissance de l’enfumage médiatique brandissant le « vote utile » pour une classe politique qui se dit « hors-système » mais qui, en réalité, pense profits à court terme, en engendrant un chômage de masse.
L’idéal est une formidable énergie de rupture. D’un côté : 10 ans de bouche à bouche (renflouements des banques par les états) et de massages cardiaques (80 milliards d’euros par mois émis par la BCE pour les marchés). De l’autre : l’austérité pour le peuple. Ça suffit ! Signons le certificat de décès de la finance de l’ombre et aidez-moi à mettre le cap vers une politique de paix par le développement.
Trop longtemps, nous avons laissé notre pouvoir politique (capacité d’agir pour le futur), notre pouvoir scientifique (capacité à repousser les limites du monde connu) et notre créativité artistique entre les mains des « experts ». Il est temps de se les réapproprier. Demandez-vous : « quel est mon idéal ? Jusqu’où irai-je pour le défendre ? ». Battez-vous grâce à ma candidature.
J’ai besoin de vous pour que fleurissent dans nos départements des palais de la découverte, des musées de l’imaginaire, des planétariums pour regarder la France avec les yeux du futur. J’ai besoin de vous pour faire découvrir à vos proches l’initiative chinoise « une Ceinture, une Route » et ses corridors de développement. Ils créeront en France et dans le monde des emplois qualifiés, mieux rémunérés. C’est ainsi que nous couperons l’herbe sous les pieds des recruteurs terroristes et que nous éviterons des drames humains en Méditerranée.
Notre région avec le Port de Sète trouvera sa place dans cette politique de projets communs à l’humanité. Pour son développement, l’Afrique aura besoin, par exemple, de machines-outils fabriquées dans nos usines. Les marchandises transiteront par notre port via une plate forme intermodale reliée au reste du pays.
Aux orties sondages et autres petits calculs ! Car que ferons-nous si le gouvernement sans majorité ne s’attaque pas aux causes et donc accentue la casse sociale ? Rien ? Mon ambition et celle de Solidarité et Progrès est de vous mobiliser pour assainir le système financier et repartir sur de meilleures bases.
Le temps est venu pour des actions collectives et coordonnées au service de la paix par le développement mutuel.
Les 11 et 18 juin, votez Julie Péréa !
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